PRÉAMBULE
POUR UNE LOI RÉPRIMANT LES VIOLATIONS DES PRINCIPES D’ÉGALITÉ HUMAINE ET LES DROITS HUMAINS.
Chaque humain est égal à un autre humain : ni supérieur, ni inférieur, même valeur, même poids, même droits, même respect, même traitement, quelle que soit sa race, ses origines, sa nationalité, sa religion, son milieu social, son quartier, ses opinions, sa fonction, son statut administratif.
Les droits humains sont inhérents à l’existence de chacun, nul ne peut les violer. Ils sont l’espace auquel chacun à droit.
Un pays, ses institutions, sont au service et la propriété de tous, aucun groupe humain, aucune corporation, aucune caste, ne peut s’en attribuer la propriété, ni exclure qui que ce soit.
Aucun groupe humain, corporation ou caste, ne peuvent incarner un État, ni être soumis à des détestations, des persécutions, des répressions et à des exclusions.
On ne doit plus entendre de tels propos infondés et incitateurs de haines et d’exclusions, violant les principes d’égalité humaine et les droits humains : Ex :
« Territoires perdus de la République » ; « territoire à conquérir » ; « zones de non-droit » ; « quartiers à nettoyer » ; « ennemis de la République » ; » immigration illégale » ; « violences légitimes » ( les violences policières) ; « intégration » ; « assimilation » ; « l’islamophobie n’existe pas » ; » les contrôles aux faciès n’existent pas » ; « les violences policières n’existent pas » ; » le grand remplacement » ; « nouvel antisémitisme » ; « antisémite ;
« islamo-gauchiste » ; » combattre le « communautarisme » ; le « séparatisme », l’islam radical, l’islam politique ; « nouvel antisémitisme », « antisémite » ( accusations/criminalisations).
Chaque humain à droit à un logement, à la nourriture, à des soins médicaux, à l’instruction, à sa sécurité, à son intimité, à sa vie familiale, à un revenu, à sa dignité, à son identité, à la pratique de sa religion, au choix de sa mosquée et de son imam, à sa liberté d’expression, d’information, d’opinion, de circulation et aux moyens de ceux-ci.
Aucun humain ne peut être considéré comme illégal ou illégitime quelle que soit sa situation administrative.
Aucun droit humain ne peut être conditionné, nié ou supprimé.
Le respect de l’égalité et des droits humains, doivent être au centre de tout débat, de toute loi, de toute décision, de tout programme politique.
Aucune loi établissant ou induisant des distinctions, des inégalités, des préférences, des détestations, des aggravations de peines, du fait d’une appartenance ou une non appartenance et ne peut s’appliquer. Ces lois deviennent caduques et doivent être abrogées.
Il ne peut y avoir de lois de convenances au bénéfice des uns, contre les autres .
Nul ne peut être suspecté, accusé, criminalisé, menacé, violenté, agressé, insulté, déshumanisé du fait de ses origines, de sa nationalité, de sa race, de sa religion, de ses opinions, de sa situation administrative, ni être privé d’un droit humain.
Chacun dispose de tous les droits humains et de toutes les libertés humaines, dans les limites égalitaires de son espace et du respect des droits des autres.
Aucune appartenance, ni fonction ne peuvent donner lieu à des privilèges, ni à l’impunité.
Nul ne peut être interpellé, violenté, placé en garde à vue, jugé et condamné sur la base de délits non-averes.
Aucun agent de la force publique ne peut se prévaloir de la force légitime, hormis des cas exceptionnels de mise en danger d’autrui.
Le racisme ne peut qu’être réprimé qu’en tant que violations ( à démontrer) des principes d’égalité, pour éviter les abus et l’usage raciste des lois dîtes antiracistes.
Les plaignants doivent démontrer la réalité des violations des droits humains dont-ils déclarent être victimes.
Et inversement, les accusés doivent démontrer qu’ils n’ont pas viole les droits humains des plaignants.
Daniel Milan
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