NOUS NOUS DEVONS DE LA SOUTENIR. Les droits humains ne se divisent pas. Peu importe les origines, la religion, la race, les opinions des gens. Ce sont tous des êtres humains ! Ce qui est arrivé à cette jeune enseignante, est hallucinant et inacceptable. Voilà une jeune femme qui défilait dans une manif antivax avec une pancarte sur laquelle était posée la question : » mais qui ? » , suivie
de noms divers en rapport avec l’obligation vaccinale ; cible des polices de la pensée, livrée aux lynchages et à l’hystérie politico- médiatique , interpellée, placée en garde à vue 36 heures après, perquisitionnée et inculpée qui doit comparaître devant le tribunal de Metz, en septembre.
Daniel Milan
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Donc Bravo Cassandre Fristot! Si je puis me répéter: Que ceux et celles qui n’ont pas le courage de vivre en Guerriers, et en Guerrières authentiques – face à la Dictature génocidaire de la PharMacronie – fassent preuve, au moins, de la décence, et de l’élégance, de soutenir ceux et celles qui témoignent de ce courage dans leurs tripes et dans leurs synapses neuronales. Car l’Alerte est Biologique. Il n’est que Temps que les Peuples de la Terre recouvrent la Règle d’Or de tout tissu social mutualiste: une communauté, une tribu, une nation, ou tout autre groupe humain, qui n’est pas capable de percevoir la psychopathie, en son sein, et qui n’est pas capable de l’éradiquer… ne va pas survivre – et ne mérite pas de survivre.
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Bonjour Xochipelli, merci pour ce commentaire dont je partage le contenu, toutefois, je ne pas d’accord avec les derniers mots de ta dernière phrase que je trouve méchante : « ne mérite pas de survivre ».
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Suite, ceci dit, chacun devrait tout de même faire un effort, selon ses moyens. Amitiés. Daniel
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Qui sont les donneurs d’ordre à la PharMacronie? Qui? QUI? QUI?
A propos de l’interrogation prononcée “Qui? QUI?” (bientôt Kiki pour déjouer la censure!), je découvre, aujourd’hui, que cette expression serait potentiellement entachée du péché capital dénommé “anti-sémitisme” – surtout lorsqu’elle est accompagnée d’une liste de noms de psychopathes avérés. [942] Dans le cas de la pancarte portée par Cassandre Fristot, il est clair que sa liste est courte mais judicieuse car elle décline les noms de psychopathes et criminels avérés. Cassandre aurait pu, bien évidemment, rajouter Castaner et Darmanin – les deux derniers ministres tortionnaires de la Torsion Intérieure – d’autant plus que, dans un passé récent, il semblerait que Darmanin, lui-même, eût pu brandir une telle pancarte Macron/Rothschild et QUI? [945]
Comme cela n’est pas mon propos du jour – ou bien l’est-ce? – je renvoie les lecteurs intéressés, par cette autre forme de pandémie, à mes précédents Cantos “A chacun Ses Mythes et Ses Mites Anti-Sémites!” [939], “La Guerre des Etoles de Sion: la Croix de Dieudonné ou la Torah de BH Lévy?” [940] et “A l’assaut des Serpillères Sionistes de l’Académie Nationale du Génocide”. [941] Pour aujourd’hui, il suffit, amplement, de dire que lorsque j’accuse Macron, ou Castaner, de crimes à l’encontre de l’Humanité, personne ne va aller me dénoncer comme étant anti-Français. Donc…
Pour rester bref mais, nonobstant, éducatif – car tel est mon propos – quelle est la définition chez Fakypedia, l’organe officiel d’information/désinformation des Autorités, du vocable “Sémite”? Selon ce qu’il en est dit, les langues Sémitiques, éteintes et actuelles, seraient au nombre de 18, incluant: l’Arabe, l’Hébreu, l’Araméen, l’Amharique (en Ethiopie), le Maltais (à Malte), le Mandéen (en Irak et en Iran), le Syriaque (au Proche-Orient), etc, etc. Est-il bien, donc, bien clair que toutes les ethnies Arabes soient des Peuples Sémites?
Fakypedia, d’ailleurs, ne fait que reprendre ce que proposait l’orientaliste Allemand, August Ludwig von Schlözer (1735-1809), qui créa le vocable “Sémitique”, vers 1781, afin de désigner des langues dont la parenté était perçue, dès le Moyen-Age, par les Docteurs Juifs: l’Hébreu, l’Arabe et l’Araméen – selon la définition de l’Encyclopédie Universelle Larousse. En voilà un autre bon extrait, pour le hors d’oeuvre:
« Les langues sémitiques, groupe le plus important de la famille chamito-sémitique, sont parlées actuellement au Moyen-Orient et dans le nord du continent africain. Elles se divisent en 3 sous-groupes : le sémitique oriental (akkadien), le sémitique occidental du Nord (ougaritique, phénicien, moabite, hébreu et araméen), le sémitique occidental du Sud (arabe, sudarabique et langues éthiopiennes). »
En conclusion, et en quelques mots, la Meute Médiatique se jette sur une pancarte “anti-sémite”, portant “Qui? QUI?”, durant une manifestation contre le pass de la dictature sanitaire… pendant que, en Europe, des centaines de milliers de personnes sont en train de décéder de suite vaccinales anti-CoqueVide/19 et pendant que des millions d’autres vont rester handicapées à vie en raison des mêmes poisons “vaccinaux” – au parfum, prétendu, d’ARN messager… de la Mort.
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Je vais rajouter – même si tout cela appartient plutôt à ma section ultérieure sur les logos, les mèmes et les thèmes – que je découvris, très récemment, avec stupéfaction, que le geste OK est considéré, de nos jours, comme étant le signe de ralliement du “Pouvoir Blanc”. Sans plaisanter. Le geste OK – à savoir, l’index et le pouce joints avec les trois autres doigts joints et pointés – est, également, en Inde un mudra multi-millénaire. C’est le mudra dénommé “Vitarka” qui est le symbole des qualités suivantes: raisonnement, considération, délibération. C’est, en fait, le symbole du débat, de l’échange et il n’est pas étonnant qu’un tel symbole soit, au titre de l’inversion accusatoire, brandi par les Xenosh, et tous leurs complices, comme étant d’inclination suprémaciste.
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Désolé, je n’avais pas tout lu, je croyais que ton commentaire s’arrêtait à ces premiers paragraphes. Pour le reste, je partage ton point de vue.
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Tout ce que tu m’expliques est passionnant. Je fus comme toi, passionné de tradition. Je le suis toujours, mais un peu moins ( 73 ans, avec des problèmes de santé), donc, à travers mes publications et mes réflexions, j’essaie de parer au plus pressé et d’être à la portée de tout le monde. Je souhaiterais surtout que les gens ne soient plus dans l’acceptation et la soumission ; et que l’accusation ( raciste) d’antisémitisme, ne soit plus possible.
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Je reviens vers toi : » soutien à Cassandre » face à l’accusation d’antisémitisme ( peu m’importe par ailleurs, ses autres opinions, dont je ne partage pas) et soutien aussi à toutes les victimes de cette accusation.
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La stratégie de défense pourrait s’attacher à analyser le statut grammatical du pronom « Qui ».
Complété du point d’interrogation, il est employé délibérément ici comme pronom interrogatif sans antécédent [Sans antécédent et porteur du genre animé apte à toutes les fonctions grammaticales] (c.n.r.t.l)
Dès lors suit une liste de patronymes que l’on peut distribuer selon les 2 grandes catégories suivantes induites par la plainte pour antisémitisme: 1) élu/non-élu Biblique 2) élu/non élu Démocratique. Ainsi Véran et Ferguson appartiennent au sous-groupe non élu Biblique/ non élu Démocratique tandis que Macron appartient au sous-groupe non élu Biblique/élu démocratique.
La question pose en réalité sur la désignation d’un des sous groupes induits par les 2 grandes catégories.
Dès lors « traitres » aura valeur d’attribut.
On remarquera que le pluriel exclut de facto tout sous-groupe composé d’un seul élément. Pour que Macron soit désigné comme « traître », il faudrait discriminer 2 autres grandes catégories comme par exemple « pouvoir apparent »/ « pouvoir profond » , le concept de « deep state » ayant été validé officiellement par notre président.
Seul « qui » employé comme pronom interrogatif dans le discours indirect peut contenir par le jeu de l’interlocution une charge potentiellement antisémite. Exemple:
« Tu vois de qui je veux parler ».
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Trop fort!
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Après l’analyse grammaticale de « qui » (qui donnera lieu à une note en bas de page), il paraît important d’analyser la pancarte de Cassandre sous l’angle sémiotique.
L’emploi de « qui », situé en tête d’affiche, implique un emploi cataphorique: » En linguistique, le terme ayant la forme française cataphore a été formé par le linguiste allemand Karl Bühler des éléments grecs anciens κατά (katá) « en bas » et φέρω (phéro) « je porte », donnant le mot καταφορά (kataphorá), par analogie avec le terme ἀναφορά (anaphorá) « anaphore »1. C’est un phénomène syntactico-sémantique qui consiste en l’anticipation, par un élément linguistique ayant le statut de substitut, d’une entité également linguistique (mot, groupe de mots, phrase simple, phrase complexe) exprimée par la suite, ex. Moi, je vais te dire ceci : je n’aime pas beaucoup ces traitres » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Cataphore_%28grammaire%29).
S’en suit une liste de patronymes dont certains sont marqué ethniquement. Ainsi « Schwab »/ Souabe et, évidemment, le scot « Ferguson ».
S’en suit une liste ou menu ou CATAlogue (Déverbal de καταλέγω. Mot composé de κατά, katá (« bas ») et de λέγω, légô (« choisir, dire ») sur 2 colonnes de patronymes.
Nous avons vu précédemment que la discrimination « élu/non élu biblique » (e.b/n.e.b) était inopérante dans la mesure où elle aboutissait à au moins un singleton(https://www.cnrtl.fr/etymologie/singleton) alors que l’attribut « traitre » est au pluriel (stylistiquement, Cassandre élide le verbe attribut dans un souci d’efficacité. Au lecteur de compléter le slogan: « Qui SONT les traitres? »
Reprenons à présent la discrimination « pouvoir apparent / pouvoir réel » (notion de « deep state »):
– Dans le groupe « apparent », nous aurions : Véran, Buzin (e.b), Macron
-Dans le groupe « réel », nous distinguerions: Schwab (?) et Ferguson (n.e.b).
(Reste à prouver que Buzyn ne constitue pas un singleton dans la mesure où on peut lui supposer une double appartenance. Auquel cas « qui » porterait sur l’ensemble de la liste).
Brisons-là les finasseries discriminantes et analysons l’oracle à présent sous l’angle de l’iconologie;
Que peut signifier les deux cornes surmontant le « Q » du « qui » ?
Y verrions-nous une allusions au satanisme, que l’attribut « traitres » nous semblerait bien déceptif.
Aussi l’association « satanisme »/ « Trahison » parait quelque peu naïf de la part de l’auteure. A moins que n’y est fait allusion à la mentalité celtico-chevaleresque?
N.b: concernant « qui » pronom interrogatif dans l’emploi du discours indirect dans une interlocution, on
préfèrera l’exemple suivant:
« Et tu ne vois pas qui sont les traitres? »
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Inutile de valider mes commentaires. Je ne peux m’empêcher d’être grossier. Et un outrage, ça vaut cher…
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Concernant, l’implicite lié au béret, inutile d’y voir une allusion comme le font les médias, soit à la collaboration soit à la résistance, c’est tout simplement un accessoire de mode ACTUEL:
https://www.etsy.com/fr/listing/652049035/beret-beige-vetements-kawaii-beret-en
C’est un peu comme la réplique de l’obsédé à qui le psychiatre fait passer un test de Rorschach:
« Mais vous ne pensez qu’à ça, docteur ! »
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ATTENTION: GROS MOTS !!!!
La question du « Mais ».
Il est dommage que cette conjonction de coordination pâtisse de la soudaine célébrité de » « Qui ». Tout à la fois marqueuse de la concession et/ou de l’opposition, cette conjonction est un marqueur majeur du discours ancré dans une situation d’énonciation, à savoir lorsque le texte intègre les conditions de sa production: Qui parle? à qui ? quand? où, au moyen de quel medium?…
D’emblée, le slogan est comme la saisie d’un échange verbal entre un « sachant » et son « disciple ». Et on pense bien sûr au « Neveu de Rameau » (c.f La cabale des antiphilosophes et la querelle des Bouffons in https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Neveu_de_Rameau#La_cabale_des_antiphilosophes_et_la_querelle_des_Bouffons).
Après avoir disserté de la crise sanitaire, si les deux personnages ne se sont pas entendus sur l’origine du virus ( le neveu penche pour une origine extra-terrestre), ils finissent par convenir du caractère planifié de la gestion occidentale de la crise; l’oncle s’appuyant notamment sur le « Great Reset » de Schwab et Malleret). Impressionné par l’ampleur de la cabale, le neveu finit par poser cette fameuse question que reprend à son compte Cassandre.
N.b: concernant le beau-fils du président shooté à la carotène, avoir les preuves de son implication dans le programme vaccinal.
Pub: consultez au moins le premier chapitre de « L’Almanach inachevé… » (http://editions2021.fr), sinon pour le plaisir de la réflexion, du moins pour celui des yeux. Vous y trouverez même des conseils de jardinage …
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Bonjour l’Ami, je n’ai pas relevé de gros mots. Lol bonne journée. Amicalement. Daniel
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Nom de Dieu ! ( analyse eschatologique)
Comment ai-je pu confondre Jared Kuchner avec Roischilo! À ma décharge, les images recensées par Google image tronquent majoritairement le sommet de la pancarte. Mais avoir pris à ce point le Messie pour une lanterne me fait rougir de honte.
Nous avons avec Roischilo l’hapax legomenon que doit contenir toute énumération visant la complétude.
La véritable question que pose la pancarte de Cassandre est finalement la suivante:
Qui est Roischilo ?
Provisoirement, nous dirons que Roischiloh constitue un mega-singleton que nous appellerons « L’élu biblique ».
Les traîtrise aurait-elle consisté à confondre l’ Élu biblique avec l’élu démocratique, autrement dit avoir pris le Messie pour une baderne?
A eux (Qui?)maintenant d’éclaircir le mystère des quatrième et cinquième points de suspension…
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BADERNE:
Rem. ,,Ce terme est vieux, on dit maintenant plutôt un paillet« (Soé-Dup. 1906); Le Clère 1960 observe que ,,ce mot n’est plus employé actuellement, sauf en argot, où il a le sens de bon à rien, d’abruti en parlant d’un individu« (cf. infra B).
(C.N.R.T.L)
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