https://jeune-nation.com/lectures/police-de-la-pensee-fristot-guillotinee-soral-rejuge
Excellent article de Jérôme Bourdon comme je les aime, pour la défense, de Cassandre FRISTOT et par delà, toutes les victimes de cette accusation qui nous concerne tous. Un jugement » pour l’exemple » ou » pédagogique », comme ils se plaisent à dire, n’est pas justice. Rares sont ceux qui ont pris la plume, hélas, pour soutenir cette personne et condamner cette accusation et ils émanent presque tous de quelques courants nationalistes. Pour ma part, alors que je ne suis pas nationaliste ( bien que considéré comme » d’extrême droite » par les polices de la pensée), je n’ai cessé, ma vie durant, de m’élever contre cette accusation et de soutenir toutes les victimes de cette accusation, indépendamment des appartenances ou supposées appartenances politiques et opinions de ces personnes. On ne prendra jamais assez la plume, la parole, pour dénoncer cette accusation et soutenir les personnes qui en sont victimes. Et je regrette l’inexistence de structures, pour, entre autres, lutter contre cette accusation, et soutenir les victimes. Cette accusation idéologique, est par nature un non-sens, un abus. Elle est
inégalitaire, anti-constitutionnelle, malveillante et raciste, même. Elle viole, dans les faits, un certain nombre de droits, comme, la présomption d’innocence, le droit à la défense : une accusation équivaut à une présomption de culpabilité et à une condamnation. De tels jugements ne peuvent être équitables, avec 13 et plus, de parties civiles, contre soi. De plus, cette accusation, n’a plus aucune limites, on n’est dans » le pourrait être antisémite » ou » aurait pu l’être », donc, on condamne pour antisémitisme.
Daniel Milan.